Vladimir Jankélévitch
"Celui qui parle tout seul est un fou, mais celui qui chante tout seul, comme l'oiseau, sans s'adresser à personne, est simplement gai".
Angels
Les Fleurs du bien
A travers les intempéries
les mauvaises passes, les jours d'ennui
pense à moi, pense à moi
si t'en as envie
je ne sais plus où courent tous ces gens,
mais c'est sans doute… très important
pour y passer, y passer
autant de temps
moi j'me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
tu vas croire que c'est encore loin
mais c'est juste au bout d'un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien…
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
près d'un piano désaccordé
en attendant qu'vienne une idée
tu sauras, tu sauras…toujours
où me trouver
je sais bien que le monde est grand,
et qu'il faut regarder de l'avant…mais
pense à moi, pense à moi
si t'en as le temps
moi j'me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
tu vas croire que c'est encore loin
mais c'est juste au bout d'un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien…
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
j'te dis ça, autant que j'en rie
puisque les mots n'changent pas la vie
pense à moi, pense à moi
si t'as envie
je sais à peu près c'qui m'attends
et même après quoi courent les gens
je… ne vois plus, ne vois plus rien
de très urgent
pense… à moi, pense… à moi, oh
pense… à moi
pense… à moi
là au fond de mon jardin
à cultiver les fleurs du bien
oh, oh,
les fleurs…du bien
oh, oh, oh…
pense à moi…oh oh (x)
mais là…au fond d'mon jardin
à cultiver les fleurs…
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi…
pense…à moi
les mauvaises passes, les jours d'ennui
pense à moi, pense à moi
si t'en as envie
je ne sais plus où courent tous ces gens,
mais c'est sans doute… très important
pour y passer, y passer
autant de temps
moi j'me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
tu vas croire que c'est encore loin
mais c'est juste au bout d'un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien…
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
près d'un piano désaccordé
en attendant qu'vienne une idée
tu sauras, tu sauras…toujours
où me trouver
je sais bien que le monde est grand,
et qu'il faut regarder de l'avant…mais
pense à moi, pense à moi
si t'en as le temps
moi j'me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
tu vas croire que c'est encore loin
mais c'est juste au bout d'un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien…
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
j'te dis ça, autant que j'en rie
puisque les mots n'changent pas la vie
pense à moi, pense à moi
si t'as envie
je sais à peu près c'qui m'attends
et même après quoi courent les gens
je… ne vois plus, ne vois plus rien
de très urgent
pense… à moi, pense… à moi, oh
pense… à moi
pense… à moi
là au fond de mon jardin
à cultiver les fleurs du bien
oh, oh,
les fleurs…du bien
oh, oh, oh…
pense à moi…oh oh (x)
mais là…au fond d'mon jardin
à cultiver les fleurs…
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi…
pense…à moi
Carta roubada XXXV
Encantador de chuva,
Rodeiam-me seres crentes, como um anel que já não sái do dedo.
Deus disto e daquilo, jesus para aqui e para acolá, santos virados de pernas para o ar, nossas senhoras chorosas a passear pelas aldeias de sintra a par com as maiores barbaridades.
Gostaria de acreditar em algo de belo
Na idade perfeita
O sabor do café e o cigarro,
o pausado passeio cada tarde,
o cheiro da terra quando chove,
a grata conversa com um amigo
e uma rara página gostada
são teu amor à vida, os teus sentidos.
Aprofundam-se as feridas com o tempo
embora ele mesmo esconda as cicatrizes.
o pausado passeio cada tarde,
o cheiro da terra quando chove,
a grata conversa com um amigo
e uma rara página gostada
são teu amor à vida, os teus sentidos.
Aprofundam-se as feridas com o tempo
embora ele mesmo esconda as cicatrizes.
Passou a juventude e o que tens
chamam-lhe os néscios maturidade.
Fernando Ortiz.
chamam-lhe os néscios maturidade.
Fernando Ortiz.
Carta roubada XXXVI
Meu querido amigo,
Perdoa-me mas menti-te! Uma vez! E depois outra. não foi preciso mais...
Two Against One
Carta roubada XXXVII
Tenho como certo, meu lindo amigo, que o ser humano inflige a si próprio pequenas dores na expectativa de exorcizar dores maiores.
Puscifer - Horizons
The stranger
Ele! Desarmou o meu desencantamento tão preciosamente mantido ao longo do tempo. Com um sorriso.
E depois outro e outro e outro ainda, nem todos para mim.
Um sorriso!
The Soulsavers - love
Para ti...
Carta roubada IV
Meu lindo amigo,
No meio da rua há gente. Gente que circula, que observa, que espera, que sonha, que dorme sem saber, como zooídes. A fala germina das bocas de alguns, os risos das bocas de poucos, a ânsia das orbitas dos que não falam, nem riem.
Em contrapartida o tempo está bom.
Max Richter-Sarajevo
2:03 a 02:45
Girls - Vomit
E se depois
O sangue ainda correr
Corre atrás dele
E se depois
O fogo te perseguir
Aquece-te nele
E se depois
O desejo persistir
consome-te nele
E se depois
O sangue ainda correr
Corre atrás dele
E se depois
Virginie Despente
."Le pire chez nos contemporains, c'est pas qu'ils aient l'esprit aussi étroit, c'est cette tendance à vouloir ratiboiser celui du voisin"
Janeiro Todos dos dias
Cogitações com o espelho dourado
Há quanto tempo não o via? 4, 5anos? Nem sei, nem importa. Reminiscências. É nelas que estou a cogitar.
Quando relembro esse instante um espelho forma-se fúlgido na minha mente. Umas costas esculpidas em V distintas por uma marca mitológica a preencher o lado esquerdo. Uns cabelos esplendidamente cuidados que passo a passo ora revelam ora escondem a alma da figura imortalizada na pele branquida.
Revi as costas. Ontem, antes de ontem. Pouco importa para a história.
A tatuagem continua lá e não ocupa mais do que a dimensão da omoplata.
Há pessoas assim, que nos fazem viver uma outra realidade.
…Ainda me sinto pequenina ao lado dele…
Duane Michals, Certain Words Must Be Said, 1976
“Things had become impossible between them and nothing could be salvaged. Certain words must be said. And although each one had said those words silently to herself a hundred times, neither had the courage to say them outloud to one another. So they began to hope someone else might say the necessary words for them. Perhaps a letter might arrive or a telegram delivered that would say what they could not. Now they spent their days waiting. What else could they do?”